Un Rotary club est depuis longtemps un pilier de l’action locale et de la camaraderie. Les membres se réunissent toutes les semaines pour discuter d’actions, passer un bon moment et contribuer à des initiatives locales. Une inquiétude croissante de la part des nouveaux membres a cependant commencé à jeter un froid sur l’atmosphère du club.
Malgré l’enthousiasme général, plusieurs nouveaux membres ont exprimé leur frustration de ne pas voir l’impact plus large du Rotary au-delà de leurs réunions. Ils se sentent déconnectés du réseau international de l’organisation et des possibilités humanitaires plus larges offertes par le Rotary International. Les activités du club restent principalement confinées à leur sphère locale, les laissant se demander s’ils incarnent vraiment l’essence du Rotary.
En réfléchissant à ce dilemme, les dirigeants du club sont confrontés à un choix difficile : comment combler le fossé entre l’expérience locale au sein du club et l’impact mondial du Rotary ? Comment le club peut-il conserver son fort sentiment d’appartenance à la collectivité tout en favorisant une plus grande implication au niveau international ?
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